L'astre pointait à l'horizon d'une lueur maladive à travers le voile sombre et vaporeux. Des nuée de spectre d'un blanc pure semblait assaillir l'orée de la forêt dans des embardée furieuse pour faire plier les arbres de leur poids. Onze silhouettés semblait batailler pour ne pas être pris à partit dans cette guerre de la nature. Ils était sur des cheval noir, jurant ainsi avec le manteau à travers lequel ils progressaient. Des pièce de métal noir dépasser du pans de tissu avec lequel se recouvrait le groupe. A leur selle pendait bouclier et lance au milieu de sac de voyage.
Tache d'encre au milieu du linceul immaculé, les onze ombres s'enfoncèrent dans le bois.
Le sergent de la treizième décurie de la légion noir secoua le pan de sa cape de voyage pour la débarrasser de la neige tout en maudissant cette enfer blanc et les nuage qui l'avait déchainer dans un langage frais et coloré. On pourra en effet constater qu'il était passablement énerver, comme à chaque fois que les circonstances le poussé à passer la où il ne voulait pas. Et si il ne voulait pas rentrée dans cette régions, pour la simple raison que c'était la fameuse forêt maudite: Ombreuse.
Tout avait commencé il y une dizaine d'heure. Takeo avait reçut l'ordre impérieux de rejoindre avec sa troupe Al-for pour enquêter et faire un rapport détailler sur les événement qui si passait. Le sergent avait alors rassemblait ses hommes pour rejoindre au plus vite la cité de sa mission avent la nuit, à bonne allure cela aurait était largement possible en longent Ombreuse. C'est ainsi qu'il partit à la tête de sa Décurie. Seulement, arriver à la fin des collines de Taj, le ciel c'est tout à coup voilé et un blizzard est tombé sur les renfort. Le seul refuge à cette débauche de violence perpétrer par le vent fut Ombreuse. Mais n'est-elle pas plus dangereuse que le blizzard le plus violent? Takeo espérait que non.
Sur son grand frison, Takeo sentit la température se rehaussé de façon significative en avancent entre les arbres. Après un bref coup d'œil sur la file qu'il menait, il eu un soupir de soulagement en constatent aucune perte. Ils était passer à deux doigts de la congélation sur place. Il était important qu'il ne perde pas d'homme car il risquait d'en avoir besoin pour Al-for. Et puis, plus qu'il ne pouvais l'admettre, il tenait à ses homme comme à des frères. Connaissant la vie de chacun, ils avait battu sur de nombreux front ensemble et un lien de camaraderie c'était tissé, aussi résistant que la vagélite qui composait leur armure.
Théodus repoussa sa cape qui maintenant le tenait trop chaud sur son épaule. Révélant sa tenu de voyage. Là où es hommes avait leur armure complète, Takeo n'avait mis que les pièces important pour réduire le poids portée. C'est pourquoi le métal noir ne recouvrait que le haut de son torse ainsi que ses épaules en lattes souple descendent jusqu'au coude. Des protection de la même nature recouvrait ses avent bras, ses jambe ainsi que ses hanche. Sous la vagélite, le sergent portait une tunique noir proche du corps, qui ne cachait d'ailleurs pas beaucoup les forme de son corps, permettait de ne gêner en rien ses mouvement en combat. De plus elle isolait du froid autant que n'importe quel manteau. A sa ceinture pendait deux sabres dans leur fourreau onyx.
- On ne s'éloigne pas les uns des autres! Formation en colonne deux pas deux derrière moi et ouvrait l'œil! Cette endroits n'est sans doute pas un lieu rêver pour une permission.
Le groupe suivait dans l'obscurité ambiante la piste que laissait les animaux sauvage. Espèrent que ceux-xi ne leur tombe pas dessus. Certes ils était l'élite de l'empire, mais dans CETTE forêt rien n'est bien moins sur...
* Vraiment, traverser cette étendu maudite ne me dit rien qui vaille...*
Comme pour répondre à sa pensée, son frison Ombre renacla alors qu'un buisson bouger tendit qu'un animal quelconque s'enfuyait. Ombre, un cheval de guerre habituer au carnage de la bataille pouvant défendre son propriétaire contre des rais ou tout sorte d'autre ennemie. Cette bête de guerre avait eu peur d'un simple buisson? Il faut dire que lui même frissonnait en contemplent les arbres menaçant qui les entourait. Le souffle du blizzard faisait osciller leur cime dans une promesse de mort. Takeo sentait ses hommes plein d'appréhension derrière lui. Le sergent aurait bien voulut suivre seulement l'orée d'ombreuse mais ils ne pouvait que suivre les chemins étroit qui s'ouvrait devant eu.
Takeo posa sa main sur son sabre, ils était tous en danger. Ils était dans Ombreuse, l'enfer de gwendalavir.